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Mondialisation Psychiatrique Américaine 1er trimestre 2007 Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
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Écrit par Christian Nots   
09-08-2004

La dépression, qui intéressait peu la psychanalyse et la psychiatrie jusqu'à la fin de la deuxième guerre mondiale, est devenue le trouble mental le plus répandu dans le monde. Alors que la classique névrose qui n'était qu'un léger trouble - le plus souvent - très localisé (de type phobie, névrose obsessionnelle, hystérie, etc.) liée à une altération légère à la fois du Self et des comportements du moi de surface, la dépression du sujet contemporain est plutôt une névrose grave et profonde comportant des troubles importants de l'intégration sociale et des troubles bruyants et profonds du fonctionnement des Selfs. Chez les citoyens contemporains, nous retrouvons de plus en plus souvent ce type de névrose limite, profonde et structurale - qui par ailleurs est proche des premiers états psychotiques dans le spectre des pathologies mentales. 

Cette pandémie dépressive de masse correspond en fait à des insuffisances psychiques structurales - insuffisances quantitatives comme qualitatives - autant dans le relief matriciel des Selfs que dans le relief du moi de surface de chaque techno-citoyen. Par rapport aux nosographies descriptives et catégorielles classiques de la psychiatrie, ce phénomène pandémique de névroses graves est classé dans les états-limites pour les Européens et dans les personnalités " Borderline " pour les américains. 

Mais, bien peu de gens (à part les cliniciens de « terrain », les épidémiologistes, etc.) ne savent pas pourquoi ce type de névrose grave de masse - qui contamine aujourd'hui 50 % de la population - s'est pandémisé. A cela, il y a trois raisons essentielles :

•  Premièrement, les technocraties occidentales se sont particulièrement durcies policièrement, institutionnellement comme socialement - entraînant les citoyens de plus en plus à couper et à forclore leur sensibilité générale (leurs Selfs ou plus simplement l'ensemble de leur ressenti) et à hypertrophier souvent d'une manière grandiose leur identité externe de surface (donnant massivement dans la citoyenneté des ego factices, des ego grandioses ou encore des ego hypertrophiés).

•  Deuxièmement, les firmes pharmaceutiques, la médecine psychiatrique mais aussi l'Etat fédéral ont intégré - dans des intérêts divergents mais compatibles (respectivement, les premières dans des intérêts géo-financiers, la seconde dans des intérêts corporatistes et " nombrilistes " et le troisième dans des intérêts fascistes intra-politiques comme géopolitiques) - l'immense potentiel à psychiatriser l'existence et le Self des citoyens - via la création opportune d'une noria de nouvelles (pseudo-) pathologies mentales (356 maladies mentales pour le DSM-IV) - qui sont en fait non pas des syndromes mais des symptômes isolés] afin de les cibler systématiquement avec des psychotropes adaptés. Nos trois « coquins » sus-mentionnées ont donc tout intérêt à se donner incestuellement, voire incestueusement la main pour pérenniser leurs noirs intérêts délictueux et sulfureux - quoique idéologiquement délicieux.

•  Troisièmement, liés aux très instables contextes politico-sociaux internes des Etats Occidentaux et liés aux très difficiles contextes géopolitiques pré-martiaux provoqués intentionnellement par les mondialisations néolibérales des Européens et des américains, cette « psychotropisation de masse » sert à assujettir mentalement les citoyens pour leur faire accepter plus facilement l'installation actuelle de régimes néo-fascistes (aux Etats-Unis, en France, etc.). Elle sert aussi à leur soutirer leur consentement - ainsi que leur participation - dans la prochaine guerre impériale et re-coloniale que les Etats Occidentaux préparent contre la Chine, l'Inde, les pays arabes et autres (car la mondialisation économique n'est qu'un écran médiatique de façade qui cachent des dizaines de mondialisations pré-martiales et le focus [médiatique, universitaire, scientifique, etc.] sur le terrorisme islamique – terrorisme qui représentent environ 5 % du terrorisme général mondial – permet de cacher les multiples, très « rampants » et hyper-actifs terrorismes d'Etat des Occidentaux - qui représentent 95 % du terrorisme planétaire actuel). 

Ainsi, lorsque le conditionnement global, la surveillance et le contrôle des masses civiques se révèlent insuffisamment efficaces et que cela gêne les imminents projets méta-fascistes intra-politiques, fédéraux ou géopolitiques, il reste pour les aliénocrates fédéraux et les schizocrates d'Etat qui nous gouvernent à armer et à utiliser les touts derniers outils de la bio-ingénierie pharmaceutique et de la neuro-ingénierie du consentement pseudo-conscient des masses civiques : la distribution " gratis " et massive des nouveaux psychotropes, tranquillisants, anxiolytiques, neuro-dopants ou autres hormones de combat, etc. Pour cela, la France détient actuellement, en cette période d'aboutissement du " Meilleur des mondes euro-américains ", le triste - mais fabuleux - record mondial de consommation de psychotropes mais aussi celui de la plupart des autres produits dopants et autres psycho-stimulants. 

A l'intersection multiplicatrice de la révolution des technologies de l'information, d'une part, et de la révolution des biotechnologies, d'autre part, il s'agit de diffuser - pour les Etats fédéraux qui veulent mondialement terminer et installer leur " Mondialisation Impériale Finale " - l' anti-dépresseur miracle, sorte de méta-prozac qui permettra aux futurs techno-citoyens mondialisés de muter cognitivement et de se transformer en « Hommes Cognitivement Nouveaux » et en « Vrais Citoyens Fédéraux » (schizo-cognitivement, schizo-comportementalement et schizo-éthiquement - conformes aux normes fédérales du futur " Etat Unique Planétaire", qui sera supervisé par un « Big Father Gouvernemental Mondial Pro-américain »). Au-delà, l'impact sur l'ordre mondial en sera ainsi grandement amélioré… en terme de « pacification sanitaire des masses » de « serfs civiques » et en terme « d'occidentalisation finale et méta-coloniale » du monde. 

En fait, toutes les multinationales neuro-pharmaceutiques se préparent à commercialiser actuellement ce nouveau type de molécules psychotropiques complexes et très puissantes à spectre d'actions large, agissant simultanément à la fois sur plusieurs types de neuro-transmetteurs et sur plusieurs types de récepteurs neuronaux - tout en ayant toxicomanogéniquement le moins d'effets secondaires possibles. Ces trois éléments - champ d'action large et multi-cible, précisions moléculaires et quasi absence d'effets secondaires - sont les ingrédients imminents des futures drogues d'Etat " parfaites " que les masses civiques vont pouvoir consommer en boucle dans peu de temps. 

Avec cette sorte de " méta-prozac idéal " [Rappelons ici que le Prozac est un antidépresseur de troisième génération qui modifie le taux de la sérotonine - qui est un des neurotransmetteurs les plus importants du cerveau], les techno-citoyens pourront enfin accéder aux « Meilleurs des mondes » sur le plan psychique, cognitif, comportemental, culturel… sans les habituels et iatrogènes effets secondaires (autres - par exemple - que les classiques phénomènes de dépersonnalisation poly-topiques de leur personnalité qu'ils subissent à long terme avec les autres psychotropes standards actuels). Ces nouvelles drogues - idéales pour les pouvoirs politiques fédéraux - permettent ainsi de modifier l'humeur à volonté, de déclencher des émotions artificielles choisies ou encore de gouverner électivement certains aspects pulsionnels du fonctionnement cérébral, sans avoir les effets d'accoutumance, de saturation ou d'intoxication. 

Les pharmaco-technocrates d'Etat nous préparent ainsi, depuis peu, une sorte

« d'Eupsychisme Fascisant de Masse » : nous allons être enfin « étatiquement heureux » et « impérialement domestiqués » dans le cadre d'une citoyenneté béate et obséquieuse - c'est-à-dire uniformisée et enfermée inconsciemment dans des dissonances cognitives abyssales et dans des alexithymies spectrales. 

Stratégiquement, cette nouvelle variété de drogues pharmaceutiques permettra de diluer les centres psychologiques vitaux de la conscience du corps, de la conscience symbolique et de l'estime de Soi de chaque techno-citoyen afin de les re-construire plus normativement, plus apathiquement et surtout plus pulsionnellement dans le cadre d'une nouvelle identité artificielle et virtuelle d'Etat dotée à la fois de capacités pulsionnelles pro-étatiques et pro-fédérales plus avancées (pulsions martiales, pulsions hyper-sécuritaires, pulsions coloniales, pulsions anti-terroristes, etc.) et à la fois de capacité sédatives renforcées aux niveaux des « dangereuses » pulsions de résilience et d'individuation [trop libératogéniques, trop insighto-géniques ou trop conscientisantes) ou encore aux niveaux des inadmissibles pulsions révolutionnaires, syndicalistes, alter-mondialistes ou anti-gouvernementales. On peut aussi concevoir que - dans un avenir très proche - que notre société considérera les personnes saines comme des malades mentaux et que les personnes psychotropiquement normalisées et a-thymiques seront considérées comme des citoyens en état de santé optimal. La frontière conventionnelle entre la personnalité saine et la personnalité limite ou encore la personnalité schizoïde sera ainsi dépassée car les conventions sociales poseront comme normale ces personnalités psychotropiquement ré-équilibrées. Le " néo-citoyen psychotropisé " pourra ainsi sereinement se mépriser, éprouver tranquillement de profonds sentiments d'insignifiance et de solitude ou encore dé-réaliser calmement dans l'intimité - sans mettre comportementalement en danger la société. 

Cette exposition aux nouveaux « Psychotropes Ortho-personnalisants de Masse » (les fameux « P.O.M. » dit manipulatoirement « cosmétiques » par les Think tanks de l'industrie pharmaceutique) induira au final une véritable « décomposition psychologique et cognitive controlée de masse à géométrie variable » (parce qu'étatiquement et moléculairement contrôlable) sur plusieurs axes :

  • En inhibant les forces vives de la personnalité (effets neuroleptiques, effets sédatifs et effets neuro-dysleptiques),
  • En normalisant certains secteurs neurologiques institutionnellement intéressants (effets neuro-analeptiques, effets antidépresseurs, effets dopants, effets psychostimulants),
  • Ou encore en reprogrammant (par des Faux-Selfs fédéraux et autres Non-Selfs d'Etat) préférentiellement d'autres secteurs neurologiques spéciaux liés à certains Selfs pulsionnellement intéressants ou plus simplement rentables pour la pérennité des grands Etats policiers contemporains ou des grandes Fédérations méta-fascistes de l'Europe et des Etats-Unis (« Stimulations psychotropiques à géométrie variable » des pulsions martiales, des pulsions fiscales, des pulsions ortho-électorales, des pulsions consuméristes, etc.) [dit scientifiquement à effets dopants et - surtout - à effets neuro-cataleptiques]. 

L'avantage de notre approche est de dépasser l'obsolète et " confortable " opposition policière et judiciaires - idéologiquement construite -, entre psychotropes - qui sont [Rappelons-le] d'authentiques drogues… licites (ou de merveilleux " médicaments " de confort " étatiquement, industriellement et servilement correctes ") et produits illicites, au profit d'une analyse structurale et dé-idéologisée des dégâts profonds occasionnés volontairement par ces produits illicites mais aussi par ces nouveaux méta-médicaments addictogéniques [notion d'intentionnalité d'Etat !] – qui sont soit-disant inclassables. 

D'ailleurs, il nous faut poser ici une définition non idéologique de la drogue où le concept d'identité est intégré explicitement (Ce qui n'est évidemment jamais le cas pour les définitions posées par les organisations ministérielles et/ou universitaires qui gardent sciemment un véritable flou artistique sur la " doucereuse " frontière entre drogue et médicament). 

La définition de la drogue correspond à un ensemble de pratiques qui visent à modifier à la fois l'identité narcissique interne (le relief des Selfs), l'identité externe (dont les comportements " sociaux ") et les états de conscience du sujet qui s'auto-étrille ou qui est étrillé et/ou « soigné » par des institutions coercitives non étatiques ou par des institutions pseudo-sanitaires d'Etat (par exemple, prescription médicale hautement inadaptée ou forcée, pratiques militaires des hormones de combat, etc.). 

Ces pratiques auto-alimentées par le sujet lui-même - mais aussi le plus souvent hétéro-alimentées par de nombreuses institutions gouvernementales et non gouvernementales (par exemples, armes non létales des Etats, pratiques institutionnelles " spéciales " des centres d'interrogatoire des armées, etc.) sont généralement effectuées consciemment - rarement inconsciemment - et ciblent toujours électivement et intentionnellement certains secteurs neurologiques spécifiques du système nerveux autonome et du système nerveux central de la bio-cible (neuro-transmetteurs spécifiques, secteurs identitaires particuliers, identité génétique, identité immunitaire, déclenchements volontaire de " tropismes pulsionnels ciblés ", etc.). 

Notre « décivilisation chimique et psychotropique » propose ainsi licitement - mais aussi bien sûr illicitement - des « euphories moléculaires » en kits pharmaceutiques, des dopants chimiques, des substances neuroleptiques en boucle (qui baissent le tonus mental ), des substances neuro-analéptiques (qui augmentent le tonus mental tels que les antidépresseurs), des substances psycho-stimulantes, etc. En fait, de facto, toutes ces drogues et médicaments licites, toutes ces bensodiazépines et autres antidépresseurs tricycliques - mais aussi [bien évidemment] toutes les drogues illicites - sont surtout de puissants « narcotiques sociaux » qui permettent essentiellement d'endormir les consciences symboliques des citoyens (par exemple, arrêt « étatiquement intéressant » de leurs vitaux et sanogéniques processus de communication symbolique, de symbolisation, de senti, de résilience, etc.). 

Pour les citoyens, l'aspiration démocratique, voire révolutionnaire à l'autonomie identitaire est donc canalisée par l'Etat Dépersonnalisateur et par l'Etat Panoptique contemporain au travers de l'offre sur-multipliée de médicaments psychotropes et neurotropes qui font fonction de régulateurs socio-leptiques et de pacificateurs politiques. Ces nouvelles méta-drogues d'Etat allégent ainsi le citoyen contemporain du poids de ses responsabilités idéologiques, culturelles, médiatiques ou encore électorales et augmentent confortablement ses normalités sociales (comme aussi d'une manière exponentielle ses incapacités au bonheur) ainsi que ses apragmatismes politique et militant. Le citoyen néolibéral - reformaté par ces raccourcis chimiques et herméneutiques - recouvre alors une autonomie d'Etat assistée par de multiples… molécules chimiques et psychotropiques (licites comme illicites). 

L'évolution des rapports du citoyen aux psychotropes médicaux est caractéristique du développement massif des nouvelles technologies avancées de manipulation du Self et des industries récentes de la fausse estime de Soi. Car, pour l'Etat, plus les citoyens sont coupées d'eux-mêmes, de la conscience de leur corps, de la conscience de leur cognition, de la conscience de leur choix expérientiels et… sociétaux, etc. et plus leur identité et leur subjectivité devient une puissante question - non pas collective -, mais de stratégies addictogéniques et toxicomanogéniques d'Etat – qui relèvent de la Raison d'Etat la plus noire. Le citoyen contemporain est ainsi de moins en moins propriétaire de son Soi, car c'est l'Etat qui en est devenu le maître. 

Les psychotropes d'Etat permettent aussi de ré-usiner à souhait et artificiellement les identités internes comme les comportements sociaux de chaque citoyen psychotropisé par l'intégration d'une panoplie très bien fournie de Faux-Selfs d'Etat (faux-selfs idéologiques, faux-selfs médiatiques, faux-selfs conceptuels, etc.), d'hyper-selfs pro-étatiques [par exemple, implantation actuellement fortement soutenue dans le psychisme des citoyens d'hyper-Selfs insécuritaires via des « Cry Wolf Syndroms » très ciblés injectés par les Etats occidentaux au niveaux des médias mondiaux] ou encore par l'intégration de non-selfs psychotiques et d'anti-selfs schizophréniques qui opèrent des processus pandémiques de dépersonnalisation de masse, etc. 

Les citoyens ont ainsi - de plus en plus - les possibilités neuro-chimiques et la « totale » liberté de redessiner dans le cadre de critères fédéraux très précis leurs corps, leurs psychismes ainsi que leurs socialités pour soutenir l'action de l'Etat et raffermir son assise autoritaire. Ces artifices du Self et ces conduites sociales pro-fédérales sont particulièrement abjectes car elles contribuent à un asservissement avancé des citoyens au lieu de favoriser la démocratie de la société et la liberté pour tous. Elles réduisent l'individualité de chaque citoyen à une facticité structurale avec - en ordonnée - des topiques de faux-selfs et de non-selfs et avec - en abscisse - un jeu ultra-étatisé d'apparences corporelles, cognitives et sociales complètement déshumanisées et réifiées. 

En fait, il est hautement déconseillé de dire dans les revues scientifiques (notamment médicales) que les médicaments psychotropes d'Etat (parce que notamment prescrits médicalement mais aussi parce que remboursés par l'Etat… ) génèrent à très long terme (études absentes ou jamais publiées…) des « flashs neuro-toxiques et des court-circuits de dépersonnalisation, de re-personnalisation, de pseudo-personnalisation et d'ortho-personnalisation » dans le cerveau et indirectement dans les « Selfs chimiquement saccagés » des sur-consommateurs au long cours. 

Ces récentes drogues d'Etat ont en fait de nombreux avantages étonnants et souvent peu listés dans les médias - même spécialisés : 

  • Tout d'abord, ces récentes drogues d'Etat sont des méta-drogues licites par le fait qu'elles gardent " idéologiquement " et tout simplement le statut de médicament. Ainsi, elles ont l'avantage de n'être pas répertoriées par les (vraiment pas très neutres…) laboratoires de surveillance des différents ministères des Big Fathers d'Etat contemporains (Ministère de la Santé, Ministère de la Justice, etc.).
  • En tant que méta-drogues " furtives " d'Etat , elles ont de nombreux autres avantages merveilleux : elles génèrent chez les citoyens psychotropisés une socialisation d'Etat (dans le cadre d'une socialisation a-symptomatique), une insertion sociétale d'Etat (car comportementalement " normalisée "), une intégration cognitive d'Etat (car aidant structurellement à une hyper-rationnalité de masse - via une opportune et « moutonnisante » désymbolisation de masse) ou encore une régulation émotionnelle d'Etat car sédative et a-thymique sur le plan émotionnel… [Trop d'émotions et de consciences symboliques tueraient l'Etat !].
  • Encore plus merveilleusement, nos furtives méta-drogues d'Etat œuvrent très " doctement " à psychotropiser l'ensemble de la population sous couvert d'anxiétés, de petites angoisses, de délinquances, de comportements atypiques, etc. Moléculairement et psycho-chimiquement, notre " Meilleur des Mondes " pharmaco-médicale, aidé pour le coup actuellement par les gentils et très humains gouvernements canadiens, américains, français, européens, etc. arrivent même actuellement à psychotropiser les enfants dès le plus jeune âge comme la plupart des personnes âgées - dès la… cinquantaine. Il est évident que les institutions de santé d'Etat (des Etats fédéraux) sont ici extraordinairement efficaces et extrêmement… " humanistes " dans ce type de démarche psycho-sanitaire, tout a fait légitime et profondément pertinente (Bien évidemment… Je plaisante !).
  • Comme autres avantages politiquement et servilement somptuaires, elles permettent de glisser du champ psychiatrique pour se re-positionner dans le champ médical, voire dans les champs " jubilatoires " de la consommation de masse - sans devoir faire intervenir les habituels habillages idéologiques des épidémiologistes d'Etat, des statisticiens d'Etat, des Experts d'Etat ou des instances administratives et policières de Validation et de Surveillance d'Etat.
  • Pour finir, un ultime avantage - et non des moindres - consiste à transcender définitivement - pour ces nouvelles méta-drogues furtives d'Etat - les anciens imaginaires négatifs de déviance, d'insécurité, de marginalité, voire souvent de maladies mentales qui empêchaient ces jouissifs produits neuro-chimiques d'être ventilés en masse et d'étriller l'ensemble des citoyens.

S'opposant à l'ancienne mais toujours actuelle contre-culture des drogues de la mouvance post-soixante-huitarde qui s'est développée massivement autant aux Etats-Unis qu'en France (comme d'ailleurs dans toute l'Europe), les méta-drogues furtives d'Etat opèrent aujourd'hui à re-formater une contre-contre-culture " fédérale " qui propose par ce biais de nouvelles formes de convivialité contre-culturelle d'Etat, de nouveaux liens sociaux déshumanisés, de nouveaux rapports inter-civiques uniformisés, froids et méprisants ou encore un nouveau « meilleur des mondes hyper-étatisé et merveilleux » où le néo-citoyen contemporain se trouve enfin - depuis peu psychiquement - en prise chronique, profonde et phalloïde avec ses nouveaux Faux-Selfs d'Etat, avec ses nouveaux Selfs nationalisés ou encore avec ses nouveaux Non-Selfs institutionnels implantés par les… Etats fédéraux.

Ces nouvelles formes artificielles et toxiques de fausse réalisation de Soi, de faux confort de Soi ou de factice dopage de Soi sont ainsi des formes d'aides paradoxales et des formes de soins iatrogéniques (Double liens médicaux, Double Binds psychotropiques, Multi-binds d'Etat, etc.). Elles permettent aux Etats fédéraux de développer pan-sociétalement - mais aussi pandémiquement - des peurs chroniques de masse (Syndrome de Damoclès, Cry Wolf Syndrom, etc.), des relations inter-civiques globalement toxiques (de type anxiogéniques, déprimogéniques, paranogéniques, schizogéniques, phobogéniques, etc.) entre citoyens, etc. Ces processus totalitaires renforcent ainsi le pouvoir phalloïde et illégitime des Etats fédéraux contemporains - via la fragilisation scientifique et poly-topique du psychisme et de la cognition des masses. 

Ces Faux-Selfs d'Etat et ces multiples Non-Selfs - qu'offrent en Kits de masse progressivement, très subtilement et circulairement les Big Fathers fédéraux occidentaux à leurs citoyens (ce qui n'est pas encore le cas pour la Chine ou pour l'Ex-URSS) - ne correspondent en aucun cas à de « Vrais Selfs Structuraux et authentiques » que les citoyens devraient acquérir et développer pour être libre, lucide et symbolisant. Car, à l'époque actuelle où les grandes fédérations occidentales orchestrent pré-martialement de grands changements intra-politiques et géopolitiques obligatoires, le sur-développement - pourtant sain - du Self et le sous-développement judicieusement régulé du moi de surface ou de l'ego (« l'ego bien tempéré de la santé »!) sont devenus pour les citoyens d'aujourd'hui des luxes dangereux et hautement déconseillés par l'Etat fédéral. Les citoyens actuels qui voudraient normalement mûrir ou - pire - sainement s'individuer, seraient donc vite identifiés comme anormaux, déséquilibrés, voire même hautement subversifs.

Accessoirement, ces processus schizophrénogéniques d'Etat servent à indifférencier et à « caporaliser » les masses via des distributions et des " injections " pandémiques de Faux-Selfs d'Etat et de Non-Selfs d'Etat (mais aussi d'Hyper-Selfs pro-étatiques toxiques, d'Anti-Selfs de masse, etc.) afin de mieux aider la nouvelle élite hyper-bourgeoise (dont l'oligarchie géo-économique et géo-financière) et l'oligarchie gouvernementale à developper un vrai " Self Structural ", garant d'une pleine santé physique, psychique, existentielle et socio-expérientielle - mais réservée secrètement aux " castes socio-cognitives supérieures "- c'est-à-dire les plus avancées... fédéralement. Cette « masse de gueux civiques » doit aussi rester psychiquement « inférieure », pour mieux accepter l'avènement inéluctable de sa prochaine massification finale en « Nouveau Citoyen Néolibéral versus 4 ème R… ».

De plus, d'un point de vue purement fiscale, pour les schizocrates d'Etat qui nous parquent, qui nous épient sous toutes les coutures (par exemple, opposition caricaturale entre le renforcement actuel des secrets d'Etat et la demande de " transparence identitaire absolue " que les " Big Fathers Fédéraux " - sous couvert notamment d'anti-terrorisme - demandent aux citoyens !) ou qui nous pressurisent à tous les niveaux, cette masse de « gueux civiques décérébrés » doit numériquement devenir de plus en plus nombreuse (sur-fiscalisation des classes moyennes, liquidation non physiques des classes inférieures, normalisations autoritaires et hyper-fiscalisations des anciennes classes bourgeoises, etc.). 

Dans ce méta-civisme post-républicain… autoritaire contemporain (étant donné que nous sommes en 2006, notre propos concerne pour le moment uniquement la France, l'Europe et les Etats-Unis pour cette même période car ensuite - à moyen terme - nous pourrons peut-être parler de régimes totalitaires planétaires ou encore certainement de " Junte Militaire Mondialisée versus Otan ou Pentagone "), les anciens et très jolis uniformes de nos soldats, de nos écoliers, de nos gendarmes, de nos saint-cyriens, de nos énarques, de nos centraliens, de nos magistrats, etc. - issus des " belles " et récentes périodes d'apparat militaristes et collaborationnistes -, sont ainsi remplacées aujourd'hui - plus esthétiquement et plus efficacement - par les récents uniformes neurologiques et addictifs d'Etat, d'un blanc vif écarlate et cousus d'une panoplie décorative de Faux-Selfs d'Etat et de Non-Selfs fédéraux.

Dans ce sens, nous sommes passés en moins de 10 ans d'une entreprenarisation massive de l'existence des citoyens pendant les années 80 et 90 à une psychiatrisation globale de la citoyenneté dont la praxis totalitaire atteindra son apogée en 2020 (correspondant par ailleurs curieusement à l'aboutissement des " Black Programs " et des sous-programmes sulfureux de la mondialisation). 

Ces traitements psychotropiques des passions (dont le merveilleux Prozac en a été un des prototypes expérimentaux testé sur les populations mondiales) rappellent étrangement les fameux comprimés de " soma " que prenaient les personnages de Huxley à chaque montée d'anxiété ou à chaque bouffée d'angoisse. De ce fait, notre " Meilleur des mondes " technocratique contemporain dépasse et aggrave ainsi l'ancienne perspective cauchemardesque et … maréchalesque d'une société post-totalitaire (et tangentiellement pseudo-parlementaire avec une " Union Parlementaire Unique " ou encore avec un parti d'Etat affublé théâtralement de contre-pouvoirs factices et de partis " inféodés "…) fascinée par le progrès bio-scientifique. Ce " Nouveau Meilleur des mondes " travaille aujourd'hui d'ailleurs à offrir à ses méta-citoyens décérébrés un authentique " bonheur d'Etat " et un profond " bien-être fédéral ". 

Cette vision hallucinée d'une post-humanité déshumanisée et pseudo-consciente - via des conditionnements médiatiques et culturels à la Pavlov et via des plaisirs " psychotropiques " de masse (le " soma " psychotropique " II "…) est donc déjà le lot quotidien de beaucoup de citoyens contemporains sous traitement psychotropique chronique. Leurs traitements psychotropiques leur permet ainsi d'avoir le droit de sous-vivre et de sur-vivre dans une vie infra-ordinaire à l'occidentale dans le cadre de sociétés ultra-policières, hyper-sécuritaires, totalement " parfaites " sur le plan étatique, totalement pseudo-humanistes et subtilement tendus vers le bien-être obligatoire d'une minorité d'oligarques. 

Dans nos sociétés " parfaites " actuelles, l'Etat fédéral peut enfin hyper-sécuriser définitivement la minorité de riches citoyens (ou d'hyper-bourgeois) – implicitement sains sur le plan psychique- afin de les dissocier de la majorité de pauvres citoyens – explicitement malades et insuffisamment formatés sur les plans neuro-cognitif et psychique. Ces processus totalitaires de cloisonnements élitistes sont tout à fait actuels mais leurs signatures fascistes obligent les grands Etats autoritaires contemporains à les emballer dans des habillages idéologiques de type sécuritaire ou encore de type antiterroriste. Les objectifs principaux de ces mesures de masses sont essentiellement des objectifs méta-eugénistes, ultra-productivistes et post-totalitaires appliqués aux masses civiles dans le cadre de leur standardisation, de leur uniformisation et de leur sur-contrôle bureaucratique. 

Compte tenu des censures évidentes au sujet de ces inégalités abyssales, voire sidérales auquel l'Etat fédéral se livre urgemment en permanence, on peut envisager – prospectivement dans un avenir très proche - une société folle où l'ensemble de la masse de sous-hommes - que constitue 95 % du peuple - devra être psychotropisée avec des molécules neuro-tropes complexes et multi-cibles pour empêcher l'éclatement logique et légitime de l'Etat fédéral ainsi que de ses systèmes de « Terreurs Fédéralisées ». De surcroît, ce processus terrifiant de psychotropisation de masse aidera un peu plus la minorité de « Surhommes Schizophrènes et non psychotropisés » qui nous gouvernent actuellement, à s'enrichir. 

Notre assimilation de la psychiatrie d'Etat à un sorte de quadrillage sanitairo-policier, clinico-administratif et psychotropico-comportemental ne correspond qu'à l'aboutissement caricatural, logique et légitime, d'un raisonnement socio-politique relativement ancien qui a consisté à rechercher, derrière les pratiques les plus récentes de la psychiatrie, les marques de plus en plus flagrantes de l'autorité coercitive des appareils idéologiques d'Etat et des appareils fédéraux de la «  Terreur mondialitaire ». Epuisés par un travail de plus en plus fragmentaire, effrayés par le spectre du chômage de masse, angoissés par un avenir obscur, envoûtés par des médias de plus en plus délirants et terrorisés par les mutations géopolitiques pré-martiales contemporaines, les citoyens subissent actuellement un endoctrinement constant, invisible et clandestin. Cet embrigadement complexe suscite, chez la plupart, une obéissance inconsciente et stable. Mais, ce qui est très ennuyeux [Les Rois contemporains qui nous gouvernent actuellement comme d'ailleurs leurs obséquieux et incestueux " Hauts fonctionnaires " sont très désappointés par ces faits !], c'est qu'une minorité de citoyens non psychotropisés, cultivés et malheureusement… symbolisants (En fait, cette minorité est perçue comme la plus dangereuse et la plus lucide par les polices politiques des " Systèmes Etatiques et Fédéraux "), ressent et arrive à analyser les différents processus de " robotisation massive " des Selfs des masses, les différents processus d'accumulation illégitimes des contrôles administratifs et policiers ou encore les différents processus d'intrusions numériques, vidéo-numériques, informatiques, etc. dans la vie privée des citoyens, etc. 

Cette minorité sent et comprend simultanément (via la très saine - mais très dangereuse pour l'Etat - cognition bicamérale pointée par Jean Lérède au début des années 80 dans une thèse doctorale présentée à la Sorbonne – thèse publiée qui d'ailleurs a été rapidement exfiltrée et ex-purgée des réseaux numériques d'Etat [Electre, Internet, etc.]) que ces processus de dépersonnalisation de masse sont monstrueux et qu'ils relèvent des pratiques terroristes - bien connues historiquement - de l'Etat Fasciste et de l'Etat Totalitaire les plus caricatural et les plus abouti. 

Alors que la violence, la délinquance, la pauvreté, les infractions au code de la route, l'islamisme intégriste, les déviances ou les toxicomanies sont déjà traitées comme des maladies mentales, la nouvelle hyper-classification diagnostique - principalement américaine (mais aussi européennes avec le CIM 10 de l'OMS) - va permettrent de psychotropiser la plupart des citoyens. Ces nouvelles praxis sanitairo-totalitaires incitent activement les schizo-citoyens psychotropisés à ne plus poser et à ne plus se poser les bonnes et très gênantes questions notamment sur la mort évidente de la Démocratie, sur la fin du parlementarisme, sur l'obsolescence de la Constitution, sur " les " vraies mondialisations " noires " des Occidentaux - bien au-delà de la mondialisation économique-écran, sur les causes sociales, historiques et narcissiques de leurs énigmatiques dérèglements d'humains mais aussi de citoyens, etc. 

Tous ces médicaments psychotropes jouent surtout le rôle d' " ortho-régulateurs sociaux de masse " pour éviter que les citoyens se rébellent ou plus simplement ressentent l'obsolescence, voire la " dictatorisation flagrante et inadmissible " des régimes fédéraux occidentaux contemporains - intra-politiquement, économiquement et géopolitiquement à l'agonie. 

Car nos vieux régimes parlementaires européens et américains sont endogènement en grande difficulté intérieure réelle et exogènement en perte gravissime d'hégémonie géopolitique, géo-commerciale et géo-financière à cause des ascensions imprévues et ultra-rapides de la Chine, de l'Inde ou encore du Brésil. C'est pour cela aussi que les Etats-Unis se remilitarisent actuellement et préparent un troisième conflit mondial prévu aux alentours de 2020 - via un quelconque nouvel alibi de type 11-septembe-2020. En fait, le futur ex-Empire américain n'aura pas d'autres alternatives que de déclencher un nouveau conflit mondial de type mixte (c'est-à-dire à la fois conventionnel et… atomique) pour légitimer l'urgente reprise en main de son ancienne souveraineté impériale. 

De plus, l'assimilation de la contestation sociale et politique à des maladies mentales classifiées dans le DSM-IV de l'Association Psychiatrique américaine (Nous ne le rappelons jamais assez !) et dans le CIM 10 de l'OMS (Là aussi, nous oublions trop souvent nos " amis " de l'OMS qui ont usinés le CIM et surtout qui ont acceptés officiellement la synchronisation des deux classifications - imposée par leurs amis américains au début des années 80) obligent les appareils psychiatriques américains et européens a fonctionné comme les pièces essentielles et opportunes d'un " formatage neuro-cognitif des masses " soudées aux appareils d'Etat. 

Dans ce sens, le rôle des bio- et des neuro-médecins est indissociable et… adapté à la pérennité des pouvoirs fédéraux officiels. Dans le même sens, les nouvelles adaptations centralisées et hiérarchisées des Etats fédéraux contemporains (Européens et américains) correspondent donc à de véritables méta-organisations médico-totalitaires qui semblent directement contrôlées en surface et en façade par les instances sanitaires et humanistes de la médecine traditionnelles (quoique…) ; Mais en fait, elles sont souterrainement et infra-cliniquement contrôlées par des instances administratives, judiciaires, carcérales et industrielles d'Etat - toutes hyper-centralisées et... inter-connectées sulfureusement entre elles. 

De ce fait, le caractère purement menticidaire (et donc… criminel) de ces sulfureuses prérogatives pseudo-sanitaires et pseudo-médicales révèle en même temps nos propres cécités et autres irresponsabilités en tant que méta-citoyen décérébré et aliéné dans et par l'Etat fédéral - institutionnellement tout-puissant et... délirant. Pour les Etats fédéraux, il est fondamental et urgent que l'ensemble des citoyens ne puissent plus comprendre et surtout ne puissent plus ressentir que leurs Etats sont en crise " totale " de perennité et de légitimité – et que dans leurs nouvelles fonctions de capitalisateur et de monopolisateur des nouvelles hyper-violences cognitives et psychiques -, ils sont devenus de facto d'authentiques méga-systèmes institutionnels de terrorismes d'Etat qui étrillent dramatiquement la sécurité mentale des citoyens, l'existence géopolitique de l'Occident (via les mondialisations sulfureuses qui vont bien au-delà de l'écran médiatique de la ridicule mondialisation économique) et – à moyen terme - l'intégrité géo-pacifique du monde. 

Pour finir encore romantiquement, - en collaboration avec les belles, efficaces et très riches industries pharmaceutiques qui cherchent à ortho-usiner le Self et la cognition profonde des citoyens néo-libéraux, la psychiatrie d'Etat (la " branche militaire " pour le coup !) pourra psychotropiquement transformer les citoyens-soldats en tueurs froids et efficaces afin de les rendre insensibles aux prochaines et très probables terreurs isotopiques (consécutives - par exemple - de l'emploi imminent des merveilleuses grenades nucléaires [dites « Mini-Nukes » ou « SADM » pour les fans de « mots-clés » sur Internet ! ] de 9 Kg de l'OTAN - transportables par n'importe quel fantassin du " Pacte de Washington " [les " fantassins atlantistes " pour les non-initiés]) qu'ils vont devoir « encaisser » sans faillir sur les futurs champs de bataille nucléaires de la prochaine guerre mondiale ou encore dans les " futurs bastions de résistance et de guérilla urbaine " de la Chine, de l'Inde ou du Tiers-Monde (après le « dé-veirouillage géo-martial » des Black-programms préparatoires de la mondialisation néo-libérale de façade). 

Ce nouveau " Soldat Néolibéral Psychotropisé Universel " (à ne pas confondre avec les très dangereuses et hautement létales " Forces Spéciales Hormonisées Universelles " du Gru, de la Cia, de la Dgse, du Mossad, etc. qui reçoivent depuis longtemps des hormones de combat moléculairement très sophistiquées) deviendra idéalement un automate parfait et sans réaction émotionnelle - ou thymiques - devant le danger, devant l'inhumanité des actions exterminationnaires de sa grande armée coloniale ou devant l'humanité " atypique "... des hypothétiques survivants-rebelles de ce post-cataclysme hautement potentiel à venir. 

[Extrait de « Géopolitique des psychotropes, du DSM-IV et de la psychiatrie américaine », Chapitre 4, Christian Nots, A paraître, Fin 2007]

Dernière mise à jour : ( 03-12-2007 )
 
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